L’ail plante herbacée, tuberculeuse et vivace assez grande à nombreuses feuilles engainant le bas de la tige. La racine adulte est composée de trois à vingt bulbilles (gousses) arquées (les caïeux).
L’ail est originaire d’Asie Centrale. On pense qu’il dérive de l’espèce asiatique Allium longicuspis. Il est utilisé depuis 5 000 ans. On a retrouvé des gousses d’ail en argile datant de 3 750 ans avant J-C. sa renommée a défiée les temps , l’évolution de la médecine. Elle est à la fois curative et préventive. En effet, riche en élément soufrés, iodé, silice, ajoème, etc… L’ail contient aussi de l’allicine qui stimule la circulation sanguine et tue les batteries. Il est riche en acides animiques germanium, calcium, cuivre, zinc, potassium, magnésium, gelenium vitamine A,B1,B2 et C, des acides gras essentiels ( vitamine F) et des douzaines de composés antioxydant qui le rend indispensable dans la cuisine de tous les jours.
L’utilisateur médicinale est important : des extraits de l’ail sont ingérés pour des raisons médicales par un peu plus de 4% de la population américaine et 10% de la population australienne.
Antibiotique (nature)
La médecine actuelle admet que l’ail est un antibiotique naturel qui peut jouer un rôle déterminant comme médecine préventive et comme argent thérapeutique.
Anti-inflammatoire (nature)
L’allicine est un puissant anti-bactérie
Anti-cancérigène (nature)
C’est dans le domaine du cancer que l’ail semble remporter ses plus grandes victoires. Selon plusieurs revues médicales (American Chinese Medecine, Science, Journal of Urology) l’ail peut réduire les tumeurs même malignes.
L’ail augmente le taux de combativité du système immunitaire pour protéger notre système, notamment dans certains types de cancer comme celui du sein, de l’estomac, du colon et de la peaux.
Le Dr Benjamin Law, Professeur au département de microbiologie de l’Université de Loma Linda, école de médecine de Californie, affirme que l’ail diminue la progression de champignon, parasites, maladie qui est associée à de nombreuses victimes du SIDA.
Sans entrer dans les détails, cette maladie se traduit par de la fièvre, des symptômes de pneumonie et des lésions cutanées et l’ail aide à détruire les cellules cancérigènes.
Antiseptique – anti bactéricide
Ses propriétés bactéricides contre les infections bactériennes, fongiques et virales ont été reconnus pour la première fois par Luis Pasteur en 1858 à cause de sa teneur en sulfure d’allyle, l’ail remplace de plus en plus les antibiotiques dans la médecine vétérinaire.
L’ail, en infusion pour nettoyer la plaie, traite aussi les coupures, les brûlures et les blessures mineures.
Cardio-vasculaire et hypertensive
Les chercheurs ont récemment prouvé que l’ail contient de l’ajoème qui, tout comme l’aspirine, empêche la coagulation du sang et, de ce fait, apporte une meilleur fluidité et protège le système contre les risques cardiovasculaires. Il diminue la tension artérielle et le taux de cholestérol.
Des études cliniques effectuées dans 15 pays ont démontré que l’ail pourrait freiner l’obstruction artérielle et même faire régresser ce processus selon le cardiologique Arun Bordia, du Tagore médical collège en Inde, propriété attribuable à la présence d’antioxydants capables de neutraliser les agents responsables de la destruction artérielle. On lui attribue la capacité de réduire les plaques d’athéromes et à prévenir la formation de nouvelles lésions.
Augmente la longévité
Un sociologue Américain de l’institut de gérontologie a étudié, au siècle dernier, la courbe de mortalité chez les personnes de 65 ans et plus. Il a remarqué un fait troublant sur plus de 8 500 centenaires : ils étaient pour la plus part de grands consommateurs de l’ail. L’ail combat la grippe, l’angine, la bronchite, la diarrhée, purifie le sang. L’ail diminue le taux de cholestérol, renforce le système immunitaire.
